Monségur, le 24 mai 2015.
8 participants au départ de la halle de Monségur ce dimanche.
La balade commence par une descente par la porte du Dropt et la sortie de la cité par un joli chemin.
Y aurait-il un côté pour les filles, un pour les garçons ?
Arrivés sur la D 16, la file indienne est de rigueur, la route pouvant être dangereuse....
Une organisation que le groupe a du mal à tenir, mais l'idée y est ! Le groupe chemine en direction de Rimons à présent...
...puis bifurque au lieu-dit Babeau.
Première montée de la journée jusqu'au sommet du coteau.
La vue sur cette portion de balade est superbe !
On ne s'en lasse pas !
Une nouvelle grimpette au soleil ! Vite de l'ombre !
Et là-haut, une fois encore le panorama est magnifique ! Le groupe savoure...
... et facétie du soleil, offre même à notre photogaphe une séance de théâtre d'ombres !
Un chemin pavé redescend le coteau au milieu des pruniers. Les bâtiments d'exploitation de Château Gachon se profilent...
Le magnifique château du dix-septième siècle et ses deux étangs admirés puis dépassés, les marcheurs reprennent leur dur périple !
Direction le Bouillon Frais ! (une ferme isolée au milieu d'un pré).
Le retour vers Monségur s' amorce. Le clocher et le village sont en vue droit devant !
Finis les chemins, il faut rejoindre à présent la D15, puis la D16...
... et passer le Drot à nouveau...
Le pont offre une vue imprenable sur la base de loisir, une belle oasis de verdure.
Nos marcheurs reprennent leur périple en bord de rivière...
Une petite photo...
deux gorgées d'eau...(quand on vous dit qu'il fait chaud, ce n'est pas Marie-Claude qui vous dira que c'est exagéré !!!
Un petit mot d'encouragemnt de la part d'Eliane !!!
Et c'est la dernière difficulté du jour : l'escalade de la colline...
...pour aboutir au pied des remparts.
Une petite déambulation sur l'agréable chemin de ronde,
un petit tour dans les paisibles ruelles...
et c'est le retour à la case départ jusqu'à la halle.
Et avant de se séparer un moment de repos bien mérité, confortablement installés !
Trop bien installés, peut-être ? On se laisserait même aller à rêver d'une petite sieste réparatrice !